Hmpty011 - Mièle -Le jour et la nuit
Distribution Benelux: PIAS (03-05-2010)
Japan: P*Dis (09/2010)
France: Le Son du Maquis / Harmonia Mundi (09/2010)
27/01: Flèche d'Or (Paris)
18/02: Rideau Rouge (Lasne)
19/02: Eden (Charleroi)
27/02: Botanique - AB/BOTA (Bruxelles)
10-04: Ancienne Belgique (Bruxelles)
09-05 : Botanique (Bruxelles)
10-06 : Drugstore (Lille, Fr)
19-06 : Fêtes de la musique (Liège)
20-07: Cook and Book - Showcase (Bruxelles - Woluwé St Lambert)
13-08 : Bruxelles-les-bains
20-08 : Doux Vendredi d’Août (Namur)
Élégante et douce-amère, une pop qui aime le miel, le ciel.
Perdu de vue depuis quatre ans (et un premier album éponyme), et après s'être consacré à la musique pour enfants ou à l'accompagnement de petits camarades sur scène (Françoiz Breut), Mièle s'insinue dans nos cosys grâce à une jolie collection de dix refrains en clair-obscur. Entre jour et nuit, fille et garçon, détresse et désir, c'est la plus vieille histire du monde que l'on nous conte ici, celle de l'attraction et de la répulsion, dans cette passion qui fait quelques instants reculer la mort. Gravées entre Paris et Bruxelles, les sessions montrent l'extrême capacité du groupe à broder en points serrés des textes travaillés, soutenus par des harmonies aussi évidentes qu'oniriques. Pour apprécier Mièle, qui fait son miel de ces fragiles instants où la pop à la française synthétise brillance et tendresse, nul besoin d'aimer Francis Scott Fitzgerald, Le Genou de Claire de Rohmer, Astrud Gilberto, le Velvet Underground dans Sunday Morning ou Lio. Mais ça aide.
Christian Larrède. Les Inrocks (18 aôut 2010)
Le petit label bruxellois soigne ses sorties. La précédente, Boy & The Echo Choir nous avait retournés dans tous les sens. Cette nouvelle référence ne mettra pas plus de temps à nous séduire. Trente-cinq minutes. Guère plus. Deux, trois écoutes et l’affaire est pesée, emballée. On y reviendra. Le jour. Comme la nuit. Parce que les textes nous parlent. Des amours difficiles. Du temps qui passe. Des rêves qu’on abandonne. Parce que les mélodies résolument accrocheuses qui les soutiennent nous emportent ailleurs, dans un univers pop où les voix féminines et masculines rivalisent d’élégance pour mieux faire scintiller les lumières interlopes de la ville endormie. ‘Le Jour Et La Nuit’, premier titre, est un bateau-phare, il laisse trainer les guitares et indique l’escale, la possibilité d’un ‘Campari Orange’, quelque part à Paris. La possibilité d’un baiser volé, à l’aurore, quand tout se mélange et qu’on entrevoit l’avenir sous les ciels les plus lumineux. (lg) Rifraf
Hébergé depuis ses débuts par l'audacieux label bruxellois Humpty Dumpty, Mièle fait partie des irréductibles soutenant vaillamment leur pop-rock dans la langue de Molière. Le trio s'éloigne de l'agitation de son premier CD pour une pop fraîche et sans artifice sur laquelle Stéphane Daubersy et Catherine De Biasio se partagent toujours le micro avec une belle complicité.(G.P) Télémoustique
Hébergé depuis ses débuts par l'audacieux label bruxellois Humpty Dumpty, Mièle fait partie des irréductibles soutenant vaillamment leur pop-rock dans la langue de Molière. Le trio s'éloigne de l'agitation de son premier CD pour une pop fraîche et sans artifice sur laquelle Stéphane Daubersy et Catherine De Biasio se partagent toujours le micro avec une belle complicité.(G.P) Télémoustique
Dès les premiers instants, c’est à Jean-Louis Murat que l’on pense (quand il n’est pas sous prozac, mais plutôt enjoué). Puis la voix se féminise et se dote de quelquesaccents espiègles biens sentis. Ensuite s’enchaînent les titres pop aux textes fluides et frais à la fois. Nous voilà donc face à un deuxième album de
Mièle qui, quatre ans après le premier, nous prouve que le binôme Catherine De Biasio - Stéphane Daubersy a bien gagné en maturité. Les mélodies sont scintillantes et les morceaux ont l’épure de l‘élégance. L’idée n’est certes pas de révolutionner la chanson française, mais le duo bruxellois nous surprend par une simplicité d’écriture qui confirme l’adage selon lequel ‘less is more’. (pj) Metro
Mièle qui, quatre ans après le premier, nous prouve que le binôme Catherine De Biasio - Stéphane Daubersy a bien gagné en maturité. Les mélodies sont scintillantes et les morceaux ont l’épure de l‘élégance. L’idée n’est certes pas de révolutionner la chanson française, mais le duo bruxellois nous surprend par une simplicité d’écriture qui confirme l’adage selon lequel ‘less is more’. (pj) Metro
Quatre ans après son premier album, le groupe bruxellois revient avec plus de charme encore, le binôme Stéphane Daubersy et Catherine De Biasio menant un bal vocal qui, à la fraîcheur d’une Cœur de Pirate, ajoute la réminiscence des grandes années 80 de la pop française. Très excitant…(Tc) Le Soir