HMPTY031 - Facteur Cheval - Adieu l'organique
VINYL incl. CD / DIGITAL
DEEZER
À propos de Facteur Cheval
À dada sur le projet – comme les quatre fils Aymon sur le cheval Bayard, dont la légende prétend qu’il faisait des bonds prodigieux – nous retrouvons des usual suspects, déjà associés en 2010 pour Le Reflex du Cyclope, projet de création sonore et radiophonique en live, autour de Diane Arbus et de sa découverte de l’univers des monstres.
Corps hybride et cousu de fil élastique, Facteur Cheval est constitué de : au chant qui éructe et aux textes qui grouillent, Carl Roosens (Carl et les Hommes-boîtes), à la batterie qui tabasse du bambou, Damien Magnette (Zoft, Wild Classical Music Ensemble, Why The Eye ?), à la guitare qui décape Nicolas Gitto (Zoft, Why The Eye) et aux claviers lampes-à-laves Christophe Rault (Tanakan).
Voyez venir à vous une malle-poste à vigoureux cahots rock, à sorties de route résolues, à débordements jouissifs et funky. Élisez donc domicile dans un palais d’art brut musical à toiture amovible, élucubré en six ans et avec l’improvisation comme fluide de liaison. À votre place, on serait particulièrement attentifs aux parpaings : ils ont des doigts, ils ont des dents…
À propos d’'Adieu l’organique'
'Adieu l’organique' mène son match en seulement six rounds, mais quels rounds ! On s’y grise – jusqu’au tournis – des luttes intestines d’un type mou du bulbe et d’un satané volatile à la grise robe ('Boucle'), on se laisse cogner par les giclées math-rock délivrées par 'Les mains', créatures affranchies du tronc, aux ongles et aux mots qui scalpent. Étourdis mais consentants, on se retrouve saucissonnés par 'Les Câbles' et avant d’avoir eu le temps de dire « Cowabanga ! », nous voilà cul par-dessus tête dans la boue, absorbés par « une parenthèse pour trois cailloux », comptine-carambar psyché à la ligne sournoise, énucléée, contagieuse. Arrive alors le moment d’un héroïque face-à-face homme-mécaniques, l’authentique combat contre le boss de fin. Comme résister à la séduction des machines, à leur façon d’asséner, stridentes et « comme Robocop », le coup de grâce d’un coup de manche et d’orgue hanté? Facteur Cheval, avec 'Adieu l’organique', nous fait renoncer à notre pauvre pulpe, nous « débarrasse des aléas de la chair ». De transhumanisme à transe, n’y aurait-il pas finalement qu’un pas ? Qu’un pacte à signer de son sang et de tout ce qui suinte, pour enfin danser, libérés de nos têtes –épaules et genoux-pieds ? Alors, gigotez, maintenant !
À dada sur le projet – comme les quatre fils Aymon sur le cheval Bayard, dont la légende prétend qu’il faisait des bonds prodigieux – nous retrouvons des usual suspects, déjà associés en 2010 pour Le Reflex du Cyclope, projet de création sonore et radiophonique en live, autour de Diane Arbus et de sa découverte de l’univers des monstres.
Corps hybride et cousu de fil élastique, Facteur Cheval est constitué de : au chant qui éructe et aux textes qui grouillent, Carl Roosens (Carl et les Hommes-boîtes), à la batterie qui tabasse du bambou, Damien Magnette (Zoft, Wild Classical Music Ensemble, Why The Eye ?), à la guitare qui décape Nicolas Gitto (Zoft, Why The Eye) et aux claviers lampes-à-laves Christophe Rault (Tanakan).
Voyez venir à vous une malle-poste à vigoureux cahots rock, à sorties de route résolues, à débordements jouissifs et funky. Élisez donc domicile dans un palais d’art brut musical à toiture amovible, élucubré en six ans et avec l’improvisation comme fluide de liaison. À votre place, on serait particulièrement attentifs aux parpaings : ils ont des doigts, ils ont des dents…
À propos d’'Adieu l’organique'
'Adieu l’organique' mène son match en seulement six rounds, mais quels rounds ! On s’y grise – jusqu’au tournis – des luttes intestines d’un type mou du bulbe et d’un satané volatile à la grise robe ('Boucle'), on se laisse cogner par les giclées math-rock délivrées par 'Les mains', créatures affranchies du tronc, aux ongles et aux mots qui scalpent. Étourdis mais consentants, on se retrouve saucissonnés par 'Les Câbles' et avant d’avoir eu le temps de dire « Cowabanga ! », nous voilà cul par-dessus tête dans la boue, absorbés par « une parenthèse pour trois cailloux », comptine-carambar psyché à la ligne sournoise, énucléée, contagieuse. Arrive alors le moment d’un héroïque face-à-face homme-mécaniques, l’authentique combat contre le boss de fin. Comme résister à la séduction des machines, à leur façon d’asséner, stridentes et « comme Robocop », le coup de grâce d’un coup de manche et d’orgue hanté? Facteur Cheval, avec 'Adieu l’organique', nous fait renoncer à notre pauvre pulpe, nous « débarrasse des aléas de la chair ». De transhumanisme à transe, n’y aurait-il pas finalement qu’un pas ? Qu’un pacte à signer de son sang et de tout ce qui suinte, pour enfin danser, libérés de nos têtes –épaules et genoux-pieds ? Alors, gigotez, maintenant !
EN CONCERT
15/04/16 soirée Honest House au Garage, Liège
22/04/16 Festival RING au théâtre de la manufacture, Nancy (France)
23/04/16 PaCRocK, Pont-à-Celles
25/04/16 Café Central, release party, Bruxelles
01/05/16 Aralunaire, Arlon
15/07/16 Bruxelles les bains
09/09/16 CU festival, Liège
15/07/16 Bruxelles les bains
09/09/16 CU festival, Liège
17/09/16 Ansart day, Ansart
06/10/16 BRASS, Bruxelles
10/10/16 Magasin 4, Bruxelles
27/10/16 Recyclart, Bruxelles
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